Une proposition visant à augmenter la taxe de paris du ministère irlandais des finances suscite l'esprit des bookmakers. L'idée vient d'un comité fiscal du ministère et a déclenché tout sauf l'enthousiasme parmi les fournisseurs de paris sportifs irlandais, après tout, la taxe de paris a déjà été augmentée à ieurs reprises. L'Irish Bookmaker Association (IBA) a également critiqué les considérations et a souligné qu'une augmentation de l'impôt pour de nombreux bookmakers signifie un fardeau économique supplémentaire massif et menace ainsi la ruine.
L'exonération fiscale devrait aider
Comme dans le Documents visibles publiquement peut être vu sur le site Web du ministère irlandais des finances, le comité fiscal prévoit un Augmenter la taxe de paris des 2% précédents à 2,25%. Si vous augmentez l'augmentation à un an, l'État bénéficie d'une augmentation d'impôt d'environ onze millions d'euros de l'industrie des paris sportifs. Cependant, afin de réduire les charges financières des petits opérateurs, l'exonération fiscale devrait passer de 50 000 euros à 65 000 euros actuellement si la taxe sur les paris augmente. Les bookmakers qui restent sous cette frontière ne seraient pas affectés par la perception de la taxe de paris.
Néanmoins, l'augmentation de la taxe sur les paris pour de nombreux bookmakers signifiera un fardeau financier supplémentaire massif. Cela pourrait faire divers opérateurs fin économique menacer. Pour cette raison, l'IBA met également en garde contre une augmentation renouvelée de la taxe sur les paris. Afin de clarifier la situation dramatique, l'IBA a déjà soumis un rapport financier au ministère des Finances. Selon son président Sharon Byrne, cela a été commandé par l'IBA de l'Université de Dublin City.
Ceci est l'Irlandais Bookmaker Association IBA. L'Association de bookmaker irlandaise, dans la Irish Bookmaker Association (IBA), a été fondée en 2005 et est considérée comme le grand représentant de l'industrie des paris sportifs en Irlande. Plus de 750 des 814 agences de paris en Irlande appartiennent à l'IBA. L'IBA compte un large nombre de membres, car d'une part, il représente les intérêts des grandes sociétés de vente au détail, mais d'autre part représente également celle des opérateurs indépendants des agences de paris.
Le rapport devrait simuler les effets économiques et les pertes de vente potentielles en augmentant la taxe de paris. Avec le rapport financier, l'IBA a également abordé une demande directe au gouvernement que Augmentation de la taxe de paris. La hauteur n'est ni juste ni durable pour l'industrie des paris sportifs. L'augmentation de l'allocation fiscale n'est également qu'une baisse de la pierre chaude, car seule une très petite proportion de bookmakers tombe dans cette zone. Presque tous les bookmakers avec le taux d'imposition de 2% devraient déjà lutter.
De moins en moins de bookmakers sur le marché
Au début de l'année dernière, le 1er janvier 2019, la taxe de paris a déjà été doublée de 1% à 2%. Selon l'IBA, le résultat direct de cette augmentation a dû être rond 50 bookmakers en Irlande ferment leurs portes pour toujours. Dans le même temps, environ 300 emplois ont été perdus en même temps. Dans un Graphiques sur le site officiel de l'IBA est de voir l'augmentation continue des agences de paris qui ont dû enregistrer le faillite en raison de difficultés économiques. Au cours des douze dernières années seulement, le nombre d'agences de paris de 1 385 en 2008 est tombée à 813 fin 2019.
La taxe de paris y contribue certainement. Cependant, l'industrie devient également de en difficile pour l'industrie de rivaliser sur Internet. Ici, les fournisseurs de paris sportifs en ligne en partie sans licence sont de en larges et adaptent les clients. Il en résulte un mélange dangereux pour les magasins de paris fondés sur le terrain. D'une part, les fournisseurs sur Internet peuvent offrir de produits rapidement et accueillir le client, d'autre part ils diffèrent du point de vue de l'IBA taxe de paris excessive.
De la même manière, l'IBA critique la jurisprudence archaïque, ce qui signifie que les ateliers de paris ne peuvent se replier sur aucune technologie de paris sportive moderne. En conséquence, les magasins de paris sont clairement désavantagés par rapport au concours en ligne. Le gouvernement doit donc, s'il veut sauver l'industrie du bookmaker, prendre des mesures d'épargne. Surtout, cela comprend les adieux de la loi sur les jeux de hasard qui est dans la suspension depuis des années. Ce n'est que de cette manière que les agences de paris ont eu l'occasion de se défendre contre Internet, entre autres, par le biais de mesures de modernisation. Bien sûr, l'augmentation de la taxe sur les paris doit bien sûr être distribuée.
